Postée il y a 24 heures
Réaliser des actes de gestion financière pour le compte du laboratoire, dans le respect des techniques, des règles et des procédures applicables au domaine.
Activités
- Opérations de gestion financière courantes : saisir et suivre les dépenses, contrôler les opérations financières (dépenses et recettes)
- Collecter et contrôler les pièces justificatives d'opérations financières et comptables
- Participer au classement et assurer l'archivage des justificatifs des opérations financières (archivage physique et numérique)
- Suivre les crédits par type de dépenses ou d'opérations ou par structure
- Alimenter, mettre à jour des bases de données relatives à la gestion
- S'informer et suivre l'évolution de la réglementation dans le domaine d'activité
- Accompagner les chercheurs dans le suivi financier de leur budget
Compétences
Connaissances :
- Connaissance des règles et techniques de la comptabilité publique
- Connaissance des outils et applications budgétaires et financiers au CNRS (GESLAB, ETAMINE, NOTILUS, RESEDA, WEBCONTRAT)
- Marchés publics
- Connaissance générale de la Fonction Publique et de l'environnement recherche - enseignement supérieur
Compétences opérationnelles :
- Appliquer des règles financières
- Assurer le suivi des dépenses et des recettes
- Exécuter la dépense et la recette
- Savoir rendre compte
- Communiquer et faire preuve de pédagogie
- Mettre en œuvre des procédures et des règles
- Travailler en équipe
- Utiliser les logiciels spécifiques à l'activité
Contexte de travail
Le CCJ (UMR 8173 EHESS/CNRS/UP) est l’un des principaux laboratoires français dédiés à la recherche sur l’Asie orientale et septentrionale, à partir des études chinoises, coréennes et japonaises, mais aussi taïwanaises, mongoles et tibétaines, fort d’une quarantaine de chercheurs permanents et d’une cinquantaine de doctorants.
Le CCJ (UMR 8173 EHESS/CNRS/UP) est l’un des principaux laboratoires français dédiés à la recherche sur l’Asie orientale et septentrionale, à partir des études chinoises, coréennes et japonaises, mais aussi taïwanaises, mongoles et tibétaines, fort d’une quarantaine de chercheurs permanents et d’une cinquantaine de doctorants.